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Photo du rédacteurLinda Levesque

Je pense à nous


À la veille du temps des fêtes, je pense à toutes ces personnes, grandes et petites, qui vivent un moment - et malheureusement pour certains c’est plus qu’un moment - de leur vie dans la peur, le découragement, la maladie, l’incertitude, le désespoir, la pauvreté, la solitude, la misère (des pauvres et des riches), la guerre, la violence, et je pourrais continuer.


Je pense à la santé physique, au retour à la santé pour mon frère, pour des membres de ma famille maternelle, pour tous ceux qui en ont besoin.


Je pense à la paix, la paix, oui dans le monde, mais aussi à l’intérieur de soi, c’est un bon début.


Je pense à l’amour, l’amour pour tous, sans exception, inconditionnellement.


Je pense à la santé mentale, trop importante pour l’ignorer.


Je pense à l’acceptation, la sienne et celle des autres.


Je pense à l’innocence et la naïveté des enfants, qu’ils puissent en bénéficier le plus longtemps possible.


Je pense au courage, le courage de passer au travers des moments difficiles, de prendre son droit de parole, d’être soi-même.


Je pense au pardon; pardonner pour avancer, mais encore mieux, pardonner à soi-même pour se libérer.


Je pense à l’éveil, éveil de la conscience qui élève notre énergie et nous rend meilleurs.


Je pense à la reconnaissance, à remercier tous ce que nous avons, même si c’est peu, toutes les belles choses qui nous arrivent, tout le positif dans notre vie - lorsque nous sommes reconnaissants de ce que nous avons, la vie est généreuse envers nous.


Je pense à la générosité, la générosité à plusieurs facettes - ce n'est pas seulement offrir un présent avec une belle boucle - et tout le monde l’est à sa façon.


Je pense à la découverte, se découvrir soi-même, découvrir ce qui nous entoure, nos êtres chers, la faune, la flore, avec d’autres yeux, des yeux qui voient vraiment.


Je pense à l’égalité, au respect, à la justice.


Je pense à l’espoir, celui que l’on attend depuis que le monde est monde, espoir que l’on vivra un jour sur la terre, en paix, sans souffrance.


Je pense à l’humanité, en général, et je me dis que ça pourrait prendre des siècles avant que le monde devienne meilleur, mais ça pourrait aussi prendre un simple clignement d’oeil, avant que NOTRE monde devienne meilleur.


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